“Brownlee’s enunciation was clear, his voice booming and blending well with the soprano Elza van den Heever’s mighty and ardent Senta.”
“Van den Heever was a luminous Senta, singing with power, beauty, and a full palate of tone colours.”
“Van den Heever was a vivid and impassioned Senta…”
“La Senta d’Elza van den Heever, enfin, domine les débats. Inévitablement doublée par une fillette, vêtue comme elle, dont la présence perturbe l’écoute pendant l’Ouverture, la soprano franco-sud-africaine chante avec éclat et ardeur, osant même attaquer la « Ballade » un ton plus haut que d’ordinaire (une variante prévue par Wagner, lui-même). Sa mise en valeur des mots est, par ailleurs, remarquable.”
Opéra Magazine